« Sauf changement de dernière minute », Le Guide anticipe sur la présence de « Denis Sassou Nguesso demain à Kinshasa pour rencontrer son homologue Joseph Kabila et assister à son adresse devant le congrès ».
L’hebdomadaire rappelle « les promesses du chef de l’Etat de la RDC » sur « des mesures importantes qu’il annoncera devant le Congrès dans le cadre de l’application des recommandations formulées par les concertations pour répondre aux préoccupations légitimes du peuple ».
«Après son passage au Palais du peuple: l’ONU renvoie la RDC à Kampala»,c’est le titre en manchette du Phare qui rapporte que 24 heures après avoir assisté à l’atterrissage des Concertations nationales, le constat qui se dégage, c’est qu’on n’est pas encore sorti de l’auberge. Si d’un côté, les représentants du Conseil de sécurité de l’ONU ont fait des déclarations qui font froid au dos, de l’autre côté, certains participants à ces assises en sont arrivés à déplorer le double langage de la communauté internationale. Celle ci semble ignorer ces concertations nationales qui visent pourtant, la cohésion nationale.
En Province Orientale, La Prospérité n’a que cette triste nouvelle : « le trafic sur le pont Tshopo de nouveau bloqué. Ce vieux pont, construit en 1942 mesure 40 mètres et possède une capacité de 20 tonnes ». « Situé à une quarantaine de kilomètres de la ville de Kisangani », tel que le précise la consœur, « cette passerelle a, pourtant, été réfectionnée au mois de mars 2011. D’après des ingénieurs, ce pont doit connaitre une sérieuse réhabilitation pour éviter une catastrophe »
La Prospérité écrit aussi sur l’après concertations nationales: «Après les Concertations Nationales : Badibanga, Mvuemba, Busa, Diongo… parlent de non dits !»La tenue et la fin des concertations nationales sont loin de faire l’unanimité au sein de la sphère politique du pays. Si, pour les uns, ces assises avaient été un moment historique au cours duquel la Majorité, l’Opposition et la Société civile ont, après tout calcul, su se faire une peau neuve avec des surprises attendues, pour ce jeudi 10 octobre. Pour d’autres, par contre, elles auraient été simplement un gâchis. D’ailleurs, le groupe parlementaire de Samy Badibanga, UDPS et alliés, ainsi que d’autres sociétaires du refus de la participation à ce forum convoqué par le Président Joseph Kabila sont sortis de leurs réserves, lundi 7 octobre.
. Les signataires de cette déclaration espèrent que tôt ou tard, un dialogue, celui qu’ils qualifient, eux, comme étant le vrai, se tiendra à Kinshasa ou sur un autre terrain neutre sous la médiation internationale, pour régler les problèmes résiduels parmi ceux qui furent à l’origine de la crise politique aux effets néfastes aussi bien à l’Est qu’à l’Ouest, sans oublier le Centre et le Sud de la RDC
Forum des As ouvre sa Une sur le jugement rendu lundi 7 octobre par la Cour d’appel de Matete qui condamne M. Roger Yagi à 7 ans de prison Le journal note que cette sentence contre l’ex patron de la Banque congolaise, survenue dans le contexte de l’indépendance de la justice et de lutte contre l’impunité proclamées aux
Concertations nationales, a valeur de symbole. Alors qu’on la croyait classée, après plusieurs années, l’affaire Roger Yaghi défraie la chronique judicaire en RDC. Le journal indique que le prévenu Roger Yaghi a été reconnu coupable de plusieurs chefs d’accusations dont la somme se solde par sept ans de servitude pénale principale (SPP). Une sentence plus lourde par rapport à celle prononcée au premier degré qui avait condamné le même prévenu à cinq ans de prison, note le quotidien. En plus des sept ans de servitude pénale principale, la Cour d’appel de Matete a condamné Roger Yaghi au paiement d’une amende transactionnelle pénale en Franc congolais dont le montant est L’équivalent de 32 millions de dollars américains. C’est qu’en plus de cette pénalité, Roger Yaghi a été condamné à débourser un pactole de l’équivalent de 42 millions de dollars américains à titre de dommages causés aux victimes, affirme Forum des As.
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La Référence Plus qui livre la même information renseigne que parti en appel, le patron libanais de la défunte Banque Congolaise perd son procès. La Cour a confirmé la quasi totalité des infractions retenues à sa charge dont le blanchiment d’argent, le transfert illicite des capitaux vers le Liban et faux et usage de faux, rapporte le journal.
Le Lauréat accorde la parole à « Patrice Carteron, coach de Mazembe qui est fier de la solidarité dans son groupe ».
« Certes », reconnait le sélectionneur français dans les colonnes de l’hebdomadaire, « on a encore péché par excès de suffisance après le 2ème but et ensuite baissé de pied en permettant au Stade Malien de revenir dans le match ».
Du spectacle sportif au spectacle musical, L’Avenir présente le « hit-parade des cantiques de la semaine », avec « amour éternel » d’Alain Moloto au numéro 1 », suivi du « culte» du Pasteur Athom et Nadège, Moloto » revient à la 3ème place avec « dans ta présence ».
Le quotidien ne s’arrête pas là ; puisque au « numéro 4 », on retrouve « Pasteur-patron » de Patrice Ngoy Musoko, puis « dans ta présence Volume 2» de Mike Kalambayi, « eben ezer » de Moïse Matuta, «bon berger » de Patrick Mulaja, « espère encore » de Patrice Mubiay, « la repentance » de Micheline Shabani » et, enfin, « avec ma guitare » de Maman Lydia » boucle la boucle.
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