« Clément Kanku quitte les concertations » et La Prospérité en donne pour justification, « l’exigence du rapprochement Kabila-Tshisekedi. Le président du Mouvement pour le Renouveau a pris part aux travaux du comité préparatoire pour favoriser, dit-il, un vrai dialogue inclusif ».
« Tant qu’il n’y aurait pas de garantie sur la médiation internationale, l‘opposabilité des décisions, les immunités et la libération sans condition de certaines personnalités politiques », poursuit la consœur, le parti de Kanku « se réserve de ne pas cautionner les résolutions qui seront prises à la suite de ces concertations ».
Pourparlers de « Kampala », Le Guide annone qu’«après 14 jours, l’option militaire sera inévitable. Il revient aux FARDC de prendre leurs responsabilités. La population de Goma a toujours vu loin lorsqu’elle a demandé qu’il n’y ait pas de cessez-le-feu entre l’armée et le M23 ».
« Ayant perdu de vitesse », rappelle la consœur, « la rébellion veut chercher à s’organiser pendant les 14 jours en vue de revenir sur les zones qu’elle a perdues ».
Au « Kasaï-Occidental », La Tempête des Tropiques est choquée par « le chef coutumier Namwanda Mbaji du groupement Aka à Luiza qui a tué 3 personnes et blessé une dizaine d’autres ».
« Ce chef traditionnel », explique le quotidien, « qui affirmait vouloir venger son frère retrouvé mort dans un puits a ensuite incendié plus de 50 cases ».
Rendons-nous, à présent, au Bas-Congo où L’Observateur prévient que « les véhicules prohibés ont encore de beaux jours devant eux au port de Boma. Il s’y passe de très obscur ».
Lequel, précise le confrère, « des agents d’un certain service empocheraient 300 dollars pour donner leurs feux verts » sur le débarquement « de ces véhicules. La mesure gouvernementale est donc perçue comme une manne qui tombe du ciel »